“Tarkovsky for me is the greatest, the one who invented a new language, true to the nature of film, as it captures life as a reflection, life as a dream.”
-Ingmar Bergman
Synopsis de The Mirror
Arrivé à la moitié de sa vie, un homme malade se penche sur son passé. C’est son enfance tout d’abord qui lui revient avec la vision de sa mère attendant le retour improbable de son mari, puis le souvenir de sa femme dont il s’est séparé le hante. Passé et présent se mélangent dans l’esprit d’un homme qui cherchait « seulement à être heureux ».
« Poésie sans fin »
Dans ce grand désordre organisé, le cinéaste n’est pas dans une simple démarche de perfection esthétique (bien que celle-ci soit réelle, comme en témoignent ces ralentis dans l’imprimerie, les jeux de reflets qui viennent rendre justice au titre, l’attention aux éléments tel que le vent dans la plaine, la scène de l’incendie ou de la lévitation comme pures visions mystiques) mais dans une quête d’un absolu, d’une compréhension du fondement même de la nature humaine.
Extrait de l’article de Loris Dru Lumbroso (revus & corrigés)
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